L’Algérie a accepté les recommandations proposées par le CIDDEF (Centre [algérien] d’Information et de Documentation sur les Droits de l’Enfant et de la Femme). « C’était une première expérience pour l’Algérie et pour le mouvement associatif de participer au 1er cycle de l’examen périodique universel de 2008. Nous sommes allées présenter un rapport alternatif, en tant que femmes, et le rapport tournait autour de réserves. Il s’agit de la levée des réserves mises à la Convention sur l’élimination de toutes formes de discrimination. En tant que mouvement associatif, cela nous a permis de voir comment fonctionnait ce mécanisme qu’est l’EPU. Des questions ont été souvent impulsées par le rôle du mouvement associatif pour que l’Algérie dise où elle en est dans l’application des droits de l’homme. Des recommandations ont été faites à l’Etat algérien, et ce dernier les a acceptées. » Nadia Aït Zaï, avocate et présidente du CIDDEF
Source : http://www.elmoudjahid.com/fr/actualites/23144
C’est au mois de juin que l’Algérie présentera, dans le cadre du second cycle de l’Examen périodique universel (EPU), son rapport sur la situation des droits de l’homme.