Afin de rendre accessible la Déclaration universelle des droits de l'homme aux populations de Côte d'Ivoire, le bureau Abidjan de l'UNESCO a fait traduire cet instrument juridique dans trois langues locales : le baoulé, le dioula et le Guéré. Selon le ministre de la justice, des droits de l'homme et des libertés publiques, Mamadou Gnénéma Coulibaly, cette action de l'UNESCO traduit une vision selon laquelle « seules l'information et la formation aux droits de l'homme peuvent réduire leur violation. »